Initiative courageuse de la campagne contre l’exécution en Iran par des personnalités distingués en Iran est une véritable réforme. On peut arrêter la machine d’exécution de ce même régime, s’il y avait une volonté pour abolir ce symbole antihumaine.
Un certain nombre de démocrates épris de la liberté de premier plan dans le pays, ont lancé un appel de la campagne contre la peine de mort en Iran. Nous accueillons grandement cet appel et appelons également toutes les forces démocrates à l’intérieur et à l’extérieur du pays et les institutions et les défenseurs des droits de l’homme, et à nos compatriotes qui ont visé l’éloignement de la violence de notre société à se joindre à cette campagne.
La peine capitale est le symbole de la violence de l’État et de l’indifférence du gouvernement à la dignité et à la vie humaine. La peine capitale est l’héritage de l’âge où la valeur de droits humain n’avait pas encore son haut lieu dans la culture et de la civilisation. La peine capitale est la honte pour la société humaine, et à fortiori en Iran, gouvernés par un régime théocratique et autoritaire, et jusqu’aux des Etats-Unis dont les apologistes de système politique et juridique qui prétendent d’être avant-garde de défenseur des droits de l’homme.
Exécution dans la république islamique d’Iran, est un élément important de la tyrannie. C’est grâce à l’exécution et de cauchemar de la mort que le régime renforce ses bases tyranniques. Les dirigeants de la République islamique ont couru à l’exécution à partir de quatrième jours de leur possession au pouvoir. A cette époque, la majorité des forces politiques, y compris notre organisation n’ont pas mesuré le centre d’intérêt actuellement acquit pour les droits de l’homme d’une part, et la perception du rôle crucial dans l’exécution qui construisait la base du régime tyrannique en place d’autre part. La fondation de ce système en dérive a commencé à partir de 26 Février 1979. Sur le toit du bâtiment où résidait Khomeiny. Et « Nous » noue n’avons pas vu d’alors. De cette pierre angulaire en dérive, le régime a édifié sa tyrannie par tas des cadavres laissés par les basses besogneux et de voyous du régime contre les dissidents, les exécutions massives en 1980, au Kurdistan d’Iran, et également due à la tentative de putsch militaire présumé dans le caserne de Nojeh en1981. Les années 1980-1990, sont aussi les plus sanglants de l’histoire iranienne du notre époque, qui ont atteint son apogée (exécution expéditive de plus 4000 prisonniers en été ۸۸ après le cessez- le feu entre IRAN-IRAK). Alors que depuis près de trente-cinq ans, la République islamique comme une machine d’exécution sanglante continue à écraser la dignité de l’homme.
Exécution en Iran signifie de mettre en sein l’exécution d’un être humain sur la place publique devant des enfants et de foule, exécution des otages emprisonnés condamnés, c’est à -dire la revanche des prisonniers sans défense, à savoir l’éradication des prisonniers sans défense depuis leur arrestation et torturés pour avouer des crimes qu’ils n’ont pas commis. C’est aussi les actes de SS et de la Gestapo en dépit de l’opposition armée, forçant les familles des victimes de crimes d’atrocités au nom de la vengeance, le meurtre annuel de centaines de personnes et en bafouant la dignité de l’homme.
Initiative courageuse de la campagne contre l’exécution en Iran par des personnalités distingués est une véritable réforme. On peut arrêter la machine d’exécution de ce même régime, s’il y avait une volonté pour abolir ce symbole inhumain. Notre appel aux forces politiques pour soutenir cette campagne ne reconnait pas la barrière entre les réformateurs et les forces pour le changement du régime. L’une des réforme importante permettant l’espoir à la perspective prometteuse à l’avenir c’est justement l’appel des initiateurs pour l’abolition de la peine de mort afin d’éloigner pas à pas l’esprit de la peine capitale dans notre pays.
Halte à l’exécution. Mettons un terme au crime de l’Etat et à ce cauchemar.
Le Bureau politique- exécutif de l’Organisation des Fadaïans du peuple d’Iran(Majoritaire